Enfin un nouveau platine ! Depuis celui de Goat Simulator, je n’en avais pas eu de nouveau. La dernière TWN m’a permis de goûter à nouveau à cette jolie couleur de trophée.
Autant on peut dire que la qualité de Goat Simulator rend le platine discutable (genre “ouais, c’est un jeu pourri, nanana !”) , autant Teslagrad fut un jeu très plaisant à faire. Certes, il est possible de le rusher en suivant un guide de A à Z, mais pour moi c’est une connerie de faire ça. J’ai préféré prendre mon temps, et savourer (surtout que j’ai bien classé le jeu dans mon Top 10 de 2015).
Les trophées sont à la fois simples à comprendre, et particuliers à la fois. Dans le jeu, il existe 36 rouleaux (objets facultatifs) à collecter, et chacun représente un trophée. Il n’est même pas nécessaire de terminer le jeu pour atteindre le platine. Je vous conseille d’essayer au maximum de faire sans le guide, car le jeu est vraiment cool. Certains rouleaux sont un peu chauds à chopper (surtout le Père protecteur, le n°30, sans doute le plus difficile du jeu). À noter qu’il n’est même pas nécessaire de terminer le jeu, mais je trouve que c’est du gâchis. D’ailleurs, je l’ai terminé avant de faire les 36 rouleaux, mais il existe une (vraie) fin si on le fait après. Je vais donc le refaire !
Difficulté du platine : 4/10.
Temps passé : 10/12 heures.
Je reviens très vite pour vous parler d’un nouveau platine, peut-être encore plus méritant que celui-ci. 😉
@TrophyWhoreTeam
Voir la page des Trophy Whore Night