Après 5 jours de salon, la Paris Games Week du Parc des Exposition a fermé ses portes hier soir. Une fois de plus, ce salon a attiré les foules (272 000 visiteurs, un record !) en cette période de vacances scolaires. Pendant la soirée de lancement, j’avais notamment pu rencontrer Dimitri Yachvili et Jordi Tixier, et je vous en parle tout de suite.
Avec l’ami Offblink, nous avons commencé par interviewer le rugbyman, qui était évidemment là promouvoir le jeu Rugby 15, qui sort le 21/11 prochain, sur lequel j’avais mis la main pendant la GamesCom.
C’était sa première fois sur la Paris Games Week, et après un rapide tour du salon, il a avoué être impressionné par la qualité des jeux qu’on arrive à produire aujourd’hui, en comparaison avec ce qu’on pouvait faire il y a quelques années encore.
Est-ce un gamer ? Oui, il joue avec son fils de 9 ans.
Possède-t-il des consoles à la maison ? Une PS3 et Wii, mais envisage fortement d’acquérir une PS4.
Son expérience avec les jeux vidéo ? Il a commencé avec Pong, mais il a également possédé la Nintendo, la Super Nintendo, la GameBoy, puis il est passé par la PS1. Globalement, il jouait beaucoup plus sur les consoles Nintendo que SEGA.
Ses impressions sur Rugby 15 ? Dimitri était content de retrouver les championnats français et anglais. Il a apprécié la maniabilité, les graphismes, et surtout l’interprétation des règles, choses vraiment pas simples pour le grand public.
Qu’a-t-il choisi pour sa première partie ? Biarritz en première équipe, évidemment !
Quels sont les jeux les plus marquants de sa vie ? Les jeux de foot (mais surtout la saga PES), de basket, ou des JO d’hiver. En dehors du sport, ça serait Tomb Raider, mais il y en a plein.
A-t-il d’autres projets à part le rugby ? Il est depuis peu consultant sur beIN Sports, et commente principalement l’European Rugby Champions Cup et l’European Rugby Challenge Cup.
Si cela n’avait pas été le rugby, qu’aurait-il fait ? Ne sait pas ce qu’il aurait fait, mais est content d’être très rapidement devenu pro.
S’il devait changer une seule chose dans sa carrière ? Aucune ! Il est conscient des privilèges qu’il a eut, et de tous les choix qu’il a fait. Il ne regrette absolument rien.
Retrouver Dimitri sur les réseaux sociaux : via sa page Facebook ou son compte Twitter.
Par la suite, nous avons également pu rencontrer Jordi Tixier. J’avoue que je ne le connaissais pas vraiment avant d’aller le rencontrer mais j’ai pu découvrir sa carrirère après une rapide recherche, et voir qu’il avait notamment décroché 3 titres lors de son excellente saison 2010 en étant Champion de France junior, mais aussi Champion d’Europe EMX125cm3 et Champion du monde junior coupe FIM 125cm3. Il est également devenu Champion du Monde MX2 en septembre dernier.
Nous l’avons donc vu afin de parler de MXGP, sorti sur PS3, Xbox 360, PS Vita et PC le 28/03 dernier, mais aussi dispo sur PS4 depuis quelques jours.
Est-ce un gamer ? Pas vraiment, et il n’avait pas eu l’occasion de venir sur la PGW.
Possède-t-il des consoles à la maison ? Une PS3 seulement.
Son expérience avec les jeux vidéo ? Il n’a pas trop le temps de jouer, et préfère clairement être sur les circuits. Il joue tout de même de manière très occasionnelle avec son frère.
Ses impressions sur MXGP ? Il le trouve très réaliste par rapport aux grand prix, notamment grâce à des tracés plutôt fidèles à la réalité.
Qu’a-t-il choisi pour sa première partie ? A commencé par jouer avec son personnage, ce qu’il a trouvé marrant. Il n’avait pas fait de motion capture, mais c’est seulement son équipement qui a été pris en photo. Il trouve son personnage assez réaliste, même si cela reste perfectible, un maximum de détails sont présents, notamment au niveau des sponsors.
Quels sont les jeux les plus marquants de sa vie ? Le seul qui l’avait marqué avant celui-ci était MX vs ATV Supercross.
A-t-il d’autres projets à part la moto ? Pas vraiment. Il ne fait que repenser aux courses passées, et prépare les prochaines avant de s’endormir.
Si cela n’avait pas été la moto, qu’aurait-il fait ? BMX à la rigueur, mais ça reste un hobby. Il s’est aussi essayé au karting.
S’il devait changer une seule chose dans sa carrière ? A part les blessures, non. Il a toujours préféré ne pas brûler les étapes, et avancer catégorie par catégorie.
Retrouver Jordi sur les réseaux sociaux : via sa page Facebook, son compte Twitter et son compte Instagram.
Ce fut un réel plaisir de rencontrer ces 2 sportifs de haut niveau, avec lesquels je me suis évidemment permis d’immortaliser une petite photo souvenir avec chacun 😉