Cela faisait teeellement longtemps que je n’avais pas fait de série de P’tits Couscous ! Je vais essayer de me rattraper avec ces 3 jeux, pas forcément sortis tout récemment, mais auquel on a pu jouer, disons… il y a “peu” !
Ice Cream Surfer sur PS Vita
Je commence par un jeu qui allie shoot’em up et… alimentation ! En effet, dans Ice Cream Surfer, vous serez amené à parcourir de manière horizontale des niveaux composées d’ennemis en forme de tous types d’aliments, dans des mondes très colorés. Si j’ai été intéressé par ce jeu, c’est parce qu’il s’agit d’un des premiers jeux de Red Art Games, un éditeur français qui ressort des jeux en physiques, mais je vous en reparlerai en détail dans un futur article.
Malgré son côté en pixel art forcément attirant pour moi, j’ai finalement pas trouvé ça bien folichon au début, même si cela ne m’a pas dérangé pour terminer le jeu… 3 fois déjà, dans chacune tous les niveaux de difficultés existants. Historiquement sorti sur Wii U il y 5 ans et sur mobile une année plus tôt, on incarne un des cinq personnages possédant chacun ses propres caractéristiques pour aller affronter bol de nouilles, sushi ou autres brocolis. Malheureusement, c’est un peu vide en dehors de ce côté mignon, même si on le termine avec plaisir. J’aurais pu m’acharner un peu plus sur Ice Cream Surfer, mais ne possédant pas de platine, j’ai préféré m’arrêter pour l’instant… mais le fait d’écrire ces quelques lignes me donne déjà envie de retourner dessus, histoire de cleaner tout ça !
P’tite note : 2,5/5 (p’tit test réalisé par JohnCouscous)
Zarvot sur Switch
Ce qui m’a d’abord séduit sur Zarvot, c’est le côté cubique de son design, mais j’étais loin d’imaginer le jeu que cela allait être. Disons que c’est un jeu de plateformes, qui enchaînent les scènes de combat (oui, les cubes savent se battre !), les phases un peu plus narratives (entrecoupées de vidéos) ou encore de la plateforme, relativement simple. Plusieurs modes de jeux s’offrent à nous (pour un total d’une grosse quinzaine d’heures), mais c’est surtout le (principal) mode histoire qui m’a intéressé. En effet, on y découvre les aventures de Charcoal et Mustard qui partent en quête d’un cadeau d’anniversaire pour leur ami Red, mais tout ne se passe évidemment pas comme prévu. Vous serez parfois retenus par des méchants qui bloqueront votre progression, dans des scènes qui ressemblent étrangement à des guet-apens. On se balade dans de très jolis décors, dans une ambiance graphiquement bien réussie. Moi qui m’attendait (à en juger par les différents trailers) à un jeu de shoot pur et dur, j’ai très agréablement été surpris. Je n’ai que rapidement testé le mode Versus, mais suffisamment pour apprécier la partie fight du mode solo, à savoir le côté shoot’em up en 3D isométrique, qu’il est possible de s’affronter de 2 à 4 joueurs. Notons qu’il existe également un mode Arcade qui sera débloqué une fois l’histoire terminée.
P’tite note : 3,5/5 (p’tit test réalisé par JohnCouscous)
Call of Cthulhu sur PS4
Lorsque je disais “on” en début d’article, c’est parce que ce dernier jeu a été testé par l’ami Zephiriel, et je lui laisse donc la parole :
Cela fait un bon moment que je ne mettais pas prêté au jeu des P’tits Couscous, et c’est avec un petit
plaisir non dissimulé que je remets le couvert. Je vais prendre quelques lignes ici pour vous parler de un coup de cœur jeux vidéo de l’année passée qui en plus de d’être une réalisation d’un studio Français, et un vrai chant d’amour aux rôlistes de la première heure. Je n’en attendais pas grand-chose au début du projet car les jeux vidéo sur le thème sont souvent mal traités à mon sens, mais Call of Cthulhu, par le Studio Cyanide et édité par Focus, m’a clairement fait revoir ma copie. Chaque instant passé dans cette aventure est un plaisir pour les fans du Mythe de Lovecraft. On nous fait enfin comprendre que le protagoniste principal (vous) n’est pas un superhéros qui va affronter des hordes de créatures flingue à la main, mais bien au contraire, que vous n’êtes qu’un humain qui se défend comme il peut contre des forces qui le dépassent complètement. L’ambiance est affolante dans chaque chapitre, le tout mené par une narration posée, qu’on sent travaillée et maîtrisée jusqu’au bout par des fans du genre. Attention, il s’agit bien ici d’un jeu narratif et d’ambiance, où lire chaque ligne de dialogue à son importance, où chaque objet trouve sa place dans l’histoire et où chaque document devra être lu. Pour pousser un peu plus mon cri d’amour sur ce jeu, je vous invite à écouter le second épisode du ContreCast où j’en parle plus longuement (autour de la 40ème minute).
P’tite note : 4,5/5 (p’tit test réalisé par Zephiriel)
À très vite pour de prochains nouveaux P’tits Couscous.